Attention aux éditeurs prédateurs : certains éditeurs profitent du modèle inversé (où l’auteur paie les frais de rédaction et d’édition) pour publier les articles sans aucune relecture dans le seul but de faire du profit. On les appelle des « predatory publishers. Pour identifier un éditeur prédateur il faut :
- • se méfier des éditeurs qui démarchent par courrier
- • vérifier que l’éditeur ou la revue ne se trouve pas dans la liste des Potential, possible or probable predatory scholarly open-access publishers ( Beall's list) ou sur le site Stop predatory Journals
- • vérifier si la revue est présente dans le DOAJ. En principe la base de données a éliminé de sa base les revues prédatrices
- • vérifier toutes les allégations indiquées sur le site de l’éditeur ou de la revue (facteur d’impact, présence dans différentes bases de données, personnes impliquées dans la revue)
- • La présence d’articles dans Google Scholar et Scopus n’est pas une garantie de qualité.
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